«Pour embellir cet affreux Paris que nous devons à la misérable munificence des maçons modernes, ne pourrait-on semer çà et là quelques ruines, brûler la Bourse, la Madeleine, le Ministère de la Guerre, l’église Saint-Xavier, l’Opéra et l’Odéon ?»
La langue de Huysmans , dont on n’épuisera jamais la richesse, reste le monument le plus pérenne du vieux dix-neuvième siècle, bien plus que la Tour Eiffel, bien plus que le piètre Trocadéro. Et qu’il faut prendre aussi pour ce qu’elle est : une arme acérée contre l’obsolescence programmée de l’homme, comme en témoignent ces écrits sur l’architecture.
1. Fantaisie sur le Musée des Arts Décoratifs et l’Architecture cuite. 2. L’architecture nouvelle. 3. Le Fer. 4. Promenades à l’Exposition. 5. L’Emblème. 6. Le Monstre. 7. La symbolique de Notre-Dame de Paris. 8. En guise de biographie. Annexes : 1. Le Salon de 1879 (extrait). 2. Le nouvel album d’Odilon Redon. 3. Le Quartier Notre-Dame. Notes sur les textes.
Pour plus d'informations sur Huysmans, on peut consulter le site de Brendan King